Le libre arbitre, droit sacré de l’univers, nous donne la possibilité de vivre d’une manière indépendante, responsable et permet d’accéder à la connaissance de soi.
Mais il peut aussi, si il n’est pas accompagné de la bienveillance, nous rendre comme une simple photocopie de certitudes, de vérités, de connaissances qui ne résonnent pas au niveau vibratoire à notre âme.
Il peut nous amener aussi à juger, jauger, réduire l’autre, l’événement à des croyances, des stéréotypes, des préjugés négatifs.
La bienveillance est la capacité à se montrer indulgent, gentil et attentionné envers autrui d’une manière désintéressée.
Ce mot est issu du latin benevolens (vouloir du bien).
Elle laisse place à une vision, une écoute, un discernement serein d’une situation vécue.
Elle rend possible, dans votre libre arbitre, de vous poser les bonnes questions.
C’est-à-dire, au lieu de juger l’enseignement, la parole, l’opinion d’autrui, vous vous demanderez si cela résonne en vous.
Vous essayerez de comprendre Qui vous êtes là-dedans.
Est-ce que cela vous rapproche de la connaissance d’amour de vous même ?
Cela vous autorise-t-il à grandir, à être plus proche de votre vibration intime, spirituelle ?
Elle légitime la conscience que vous êtes un être Divin en expansion dans l’humanité qui a l’immense chance de conserver son autonomie de croissance, de respecter sa vérité et celle d’autrui.